Si tôt mal, si tôt mieux. C'est la souffrance des autres que je me prends de plein fouet, destabilisée par tant de malheurs, de les savoir si seuls, perdus. C'est la souffrance des autres qui me permet d'oublier la mienne, bien plus enfouie, moins bien visible, enterrée. Je n'ai pas le temps de pleurer, trop de travail, trop de choses. Je m'occuperai du désordre plus tard et des mille et uns bobos qui peuplent mon cerveau.
Ouais. Et finalement je vais aller écrire sur du papier, je n'ai pas envie aujourd'hui de partager mes réflexions intimes avec une société que je dégueule.
AgnesObel♪