20 février , 6:38


Ah la vie étudiante...!
Il est 6h30 et je vais me coucher.
Encore un chouette week-end ici.

15 février , 10:59

http://addictions.cowblog.fr/images/IMG4954.jpg

J'écris toujours un article sur la St-Valentin, cette année j'ai loupé mon coup. Oui, je suis en retard, et alors ? La bretagne m'a fait changer d'avis. Je considère maintenant que ceux qui rejettent cette fête ont autant, sinon plus, de torts que ceux qui dépensent pour l'occasion. La grande différence est que les premiers sont des gros frustrés, ils sont trop seuls ou bien l'être aimé s'en fout, alors ils rejettent ce qu'ils voudraient secrètement avoir. Bref. Rien de très intéressant, j'ai même pas pesté contre les articles dégoulinant d'amour aveugle, j'ai pas crié sur les gens qui s'embrassent dans la rue, je ne les ai même pas remarqué.
C'est la première fois depuis des années que je ne fais pas partie des frustrés, parce que c'est bien la première fois depuis plus de trois ans que je n'ai personne dans le coeur.

10 février , 10:05

http://addictions.cowblog.fr/images/IMG5082.jpg
http://addictions.cowblog.fr/images/IMG5093.jpg

Maman m'a toujours dit qu'il fallait se confronter à la société actuelle parce que j'allais devoir la supporter toute la vie. Maman a raison. Mais moi, j'croyais pas que, dehors, hors de l'enfance, le monde était si moche. Qu'il faudrait non pas se confronter à la société, mais heurter ses vices en permanence. Supporter cette merde, ces autres qui parlent pour ne rien dire, ces autres qui n'ont aucun avis, ce snobisme des pseudos artistes, ces autres qui deviennent tous si moches tant leur connerie les happe. Ils sont où, les vrais ? J'veux dire, ceux qui ont encore un peu d'innocence dans le coeur, ceux qui veulent bien croire avec tout l'optimisme du monde qu'on peut encore fuir tout ça, qu'on peut encore éviter le pire ?

7 février , 10:45

http://addictions.cowblog.fr/images/IMG4927.jpg


Les nuits sont longues lorsque le sommeil s'échappe, lorsque la fièvre prend sa place et ne vous laisse pas en paix, la tête qui implose. Le corps tout entier devient un boulet à traîner avec soi-même. Rien à faire, sinon attendre. Recommencer à rêvasser, vivre dans des histoires inventées qui essayent de faire vainement croire à leur réalité.
Et moi dans tout ça je n'existe plus, je me fonds dans mon mal et je me morfonds comme j'aime tant le faire, d'habitude.
Créer un podcast