C'est aux coins des rues que mon objectif a pu revivre, que la simplicité s'est invitée et la joie de transgresser les révisions pour s'évader quelques instants ; pour oublier pour quelques heures le néant d'une vie, sa banalité et l'omniprésence du "rien-à-raconter" parce que "rien-à-vivre". La prise de conscience de la pesanteur de mon être, tout mon espace vital remplit de vide et d'absence et le flot incessant de travail qui me sauve des déprimes pré-noël. Mais il n'y a personne à qui donner une parcelle de soi, il n'y a même personne sur qui jeter sa haine.
10 décembre , 11:02
C'est aux coins des rues que mon objectif a pu revivre, que la simplicité s'est invitée et la joie de transgresser les révisions pour s'évader quelques instants ; pour oublier pour quelques heures le néant d'une vie, sa banalité et l'omniprésence du "rien-à-raconter" parce que "rien-à-vivre". La prise de conscience de la pesanteur de mon être, tout mon espace vital remplit de vide et d'absence et le flot incessant de travail qui me sauve des déprimes pré-noël. Mais il n'y a personne à qui donner une parcelle de soi, il n'y a même personne sur qui jeter sa haine.
Mur tagué
Par 25 juin , 10:33
le Comme tout le reste, d'ailleurs.
Par 30 août , 4:57
le J'arrête mon petit merdier ici, je sens que je m'enfonce.
Taguer
Sur l'ancien blog je venais presque tous les jours, et quand tu as emménagé ici je ne sais pas, peut-être la flemmardise de changer une habitude...
Je suis contente de te relire. Tu écris si bien.
Et parfois, je me dis que tes mots collent très bien à ma vie.
Je reviens bientôt